Balmain proposait en ce mois de septembre son défilé printemps 2012, qui est le premier défilé d’Olivier Rousteing à la tête de la direction artistique de la maison. Un vestiaire entre opulence chamarée et dégaine décontractée. Les hauts sont très structurés, les cols droits le confirme. Beaucoup de paillettes et de broderies de perles qui fixées sur le tissu ou sur les accessoires en cuir, donnent un look clouté pour une femme féminine mais décidée, une sorte de « Queen Angels ». Une mode stricte et brillante qui sait sublimer le corps féminin, grâce à des décolletés osés et de matières chamarées. Suite du défilé sur Vogue.fr
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Le livre présente l'histoire d’une maison de Haute Couture, un peu oubliée, comme bien d’autres, mais qui lors de son passage sur la scène parisienne, n’a au final pas laissé que des frou frou, des robes de soirée ou encore le parfum préféré de Madonna.
La maison de Couture Robert Piguet, du nom de son fondateur, Suisse protestant, fils de banquier, a eu une belle existence de 1933 à 1951. Elle a apporté son goût de l’élégance, sa capacité à sublimer l’épure, c’est Christian Dior qui le dit dans ses mémoires, à habiller les clientes de l’époque, qu’elles soient bourgeoises, princesses, artistes, stars de théatre ou de cinéma, mais a été surtout le théatre des débuts de jeunes designers qui ont pu faire sur cette scène de la mode, scrutée par le monde entier, leurs premiers pas et y démarrer de brillantes carrières. On pense bien sûr à Christian Dior, mais aussi à Hubert de Givenchy, ou encore à Marc Bohan...