Il a la couleur claire et la douceur d’un pull de cachemire, il donne une vision poétique de la planète fashion, et parle avec justesse de la création dans ce vaste univers valonné de la mode féminine. Lui c’est ce blog chezsarra, ou on découvre un regard pointu, non exhaustif, mais très agréable sur ce qui peut le mieux habiller nos compagnes. Pas de discours agressif sur les soldes ( en tout cas pour le moment), juste une vision produit à découvrir.
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Le livre présente l'histoire d’une maison de Haute Couture, un peu oubliée, comme bien d’autres, mais qui lors de son passage sur la scène parisienne, n’a au final pas laissé que des frou frou, des robes de soirée ou encore le parfum préféré de Madonna.
La maison de Couture Robert Piguet, du nom de son fondateur, Suisse protestant, fils de banquier, a eu une belle existence de 1933 à 1951. Elle a apporté son goût de l’élégance, sa capacité à sublimer l’épure, c’est Christian Dior qui le dit dans ses mémoires, à habiller les clientes de l’époque, qu’elles soient bourgeoises, princesses, artistes, stars de théatre ou de cinéma, mais a été surtout le théatre des débuts de jeunes designers qui ont pu faire sur cette scène de la mode, scrutée par le monde entier, leurs premiers pas et y démarrer de brillantes carrières. On pense bien sûr à Christian Dior, mais aussi à Hubert de Givenchy, ou encore à Marc Bohan...