David Beckham n’a jamais joué pour un club suédois. Aucun club de football de ce pays n’est un leader du football européen. Par contre coté mode ce pays possède un des champions du prêt à porter H&M. A cette échelle, la collaboration deviens possible. Commencée par une ligne de sous-vêtement, l’ex joueur britannique a prolongé son contrat avec la marque suédoise pour faire une collection capsule qui comprend de nombreux basiques du vestiaire masculin. Amené pour cette nouvelle collection à aller se rhabiller, au grand dam de la gente féminine et masculine ;), il présente une collection complète de chemise, sweat, blouson, pantalon, manteau.
Cette collection n’est pas une création à proprement parler. David Beckham a sélectionné ses pièces masculines préférées parmi la collection Les Essentiels du printemps 2015. » Je suis ravi de poursuivre et de renforcer ma collaboration avec H&M en sélectionnant mes pièces préférées parmi la collection Les Essentiels du printemps. Chaque pièce est un nouveau classique qui modernise avec style toutes les garde-robes masculines. »
On peut lui accorder le crédit de l’élégance pour savoir l’équilibre qu’il faut trouver entre le modernisme d’une ligne de vêtement et son coté classique et simple à porter. Lui a toujours été élégant, sur et hors du terrain, même quand son entraineur lui envoyait une chaussure à crampon en plein visage et lui ouvrait l’arcade. Davis Beckham, a le coquard distingué.
Cette gamme d’essentiels soigneusement choisis par l’ex joueur britannique, comprend l’inévitable chemise blanche dont il faut quand même vérifier la trame du tissu. Les chemises blanches en popeline fine sont souvent transparentes. Les pièces choisies, permettent de composer facilement et durablement un style correspondant à votre personnalité.
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Le film de la pub se joue autour d’une table de billard, ou l’homme de Posh donne des trajectoires aussi sophistiquées à la boule que celles qu’il donnait au ballon, lorsqu’il jouait sur les pelouses anglaises ou espagnoles. Malgré le fait qu’il gagne sa partie grâce à un coup de billard en 3 bandes, Adidas n’est pas co-sponsor de l’opération 😉 . Le réalisateur est le suisse Marc Forster qui a notamment réalisé À l’ombre de la haine, Quantum of Solace et World War Z.
Le livre présente l'histoire d’une maison de Haute Couture, un peu oubliée, comme bien d’autres, mais qui lors de son passage sur la scène parisienne, n’a au final pas laissé que des frou frou, des robes de soirée ou encore le parfum préféré de Madonna. La maison de Couture Robert Piguet, du nom de son fondateur, Suisse protestant, fils de banquier, a eu une belle existence de 1933 à 1951. Elle a apporté son goût de l’élégance, sa capacité à sublimer l’épure, c’est Christian Dior qui le dit dans ses mémoires, à habiller les clientes de l’époque, qu’elles soient bourgeoises, princesses, artistes, stars de théatre ou de cinéma, mais a été surtout le théatre des débuts de jeunes designers qui ont pu faire sur cette scène de la mode, scrutée par le monde entier, leurs premiers pas et y démarrer de brillantes carrières. On pense bien sûr à Christian Dior, mais aussi à Hubert de Givenchy, ou encore à Marc Bohan...
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