C’est à l’occasion du lancement de la collection dessinée par José Lévy, pour Monoprix , que l’enseigne investit le Palais de Tokyo pour y installer une boutique éphémère qui présentera l’intégralité de la collection du 13 au 19 novembre.
Monoprix installe dans la galerie haute, cette boutique de 500m2 qui présentera les 117 références mode pour femme, homme, enfant, bébé, maison, beauté et alimentaire.
L’intégralité de la collection sera disponible sur monoprix.fr à partir du 24 novembre et dans les magasins Monoprix à partir du 26 novembre.
On ne sait pas si Monoprix s’intéresse vraiment à l’art, ou si cette démarche relancera la polémique au sujet des musées qui, acteurs importants du monde de la culture commencent aussi à calculer le CA par mètre linaire.
Le livre présente l'histoire d’une maison de Haute Couture, un peu oubliée, comme bien d’autres, mais qui lors de son passage sur la scène parisienne, n’a au final pas laissé que des frou frou, des robes de soirée ou encore le parfum préféré de Madonna. La maison de Couture Robert Piguet, du nom de son fondateur, Suisse protestant, fils de banquier, a eu une belle existence de 1933 à 1951. Elle a apporté son goût de l’élégance, sa capacité à sublimer l’épure, c’est Christian Dior qui le dit dans ses mémoires, à habiller les clientes de l’époque, qu’elles soient bourgeoises, princesses, artistes, stars de théatre ou de cinéma, mais a été surtout le théatre des débuts de jeunes designers qui ont pu faire sur cette scène de la mode, scrutée par le monde entier, leurs premiers pas et y démarrer de brillantes carrières. On pense bien sûr à Christian Dior, mais aussi à Hubert de Givenchy, ou encore à Marc Bohan...