A l’inverse des modèles classiques d’Oscar de la Renta, on découvre chez Pierre Balmain un esprit d’élégance revitalisé par des gènes neufs et pleins d’audace. Olivier Rousteing qui a en pris les rênes il y a peu, se débrouille remarquablement bien pour projeter cette marque dans un futur ou le style se conjugue avec la modernité. Il y a un très beau travail des matières pour une des belles performances de cette Fashion Week. Les autres modèles à découvrir sur Vogue.fr
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Le livre présente l'histoire d’une maison de Haute Couture, un peu oubliée, comme bien d’autres, mais qui lors de son passage sur la scène parisienne, n’a au final pas laissé que des frou frou, des robes de soirée ou encore le parfum préféré de Madonna.
La maison de Couture Robert Piguet, du nom de son fondateur, Suisse protestant, fils de banquier, a eu une belle existence de 1933 à 1951. Elle a apporté son goût de l’élégance, sa capacité à sublimer l’épure, c’est Christian Dior qui le dit dans ses mémoires, à habiller les clientes de l’époque, qu’elles soient bourgeoises, princesses, artistes, stars de théatre ou de cinéma, mais a été surtout le théatre des débuts de jeunes designers qui ont pu faire sur cette scène de la mode, scrutée par le monde entier, leurs premiers pas et y démarrer de brillantes carrières. On pense bien sûr à Christian Dior, mais aussi à Hubert de Givenchy, ou encore à Marc Bohan...