L’effervescence au sein du parti socialiste et l’enjeu du congrès du mois de novembre, permet à la presse de rebondir chaque semaine sur une personnalité de ce parti composite. Après Fabius ( et ses carottes rapées), DSK (et son Anne Sinclair), De Montebourg ( et son Peillon associé/dissocié), Hollande ( l’autre pays de la politique), voila Jack Lang et son "code vestimentaire". Je ne peux m’empêcher de remarquer cet article dans l’Express du 22/09…. sur un sujet déjà évoqué dans ce blog en juin 2005 😉
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Le livre présente l'histoire d’une maison de Haute Couture, un peu oubliée, comme bien d’autres, mais qui lors de son passage sur la scène parisienne, n’a au final pas laissé que des frou frou, des robes de soirée ou encore le parfum préféré de Madonna.
La maison de Couture Robert Piguet, du nom de son fondateur, Suisse protestant, fils de banquier, a eu une belle existence de 1933 à 1951. Elle a apporté son goût de l’élégance, sa capacité à sublimer l’épure, c’est Christian Dior qui le dit dans ses mémoires, à habiller les clientes de l’époque, qu’elles soient bourgeoises, princesses, artistes, stars de théatre ou de cinéma, mais a été surtout le théatre des débuts de jeunes designers qui ont pu faire sur cette scène de la mode, scrutée par le monde entier, leurs premiers pas et y démarrer de brillantes carrières. On pense bien sûr à Christian Dior, mais aussi à Hubert de Givenchy, ou encore à Marc Bohan...