Alors, entre confinement décontracté, cercle familial limité, faut-il laisser en plus le couvre-feux mettre nos envies de s’habiller sous l’éteignoir ? En cette fin d’année la distanciation risque d’être autant sociale que physique, voire même...
Si l’habit fait le moine, l’uniforme fait il la femme ? Et bien après avoir rencontré les Brenda’s (c’est comme cela qu’elles se surnomment) et découvert leurs collections, on peut répondre oui. L’uniforme n’a jamais aussi mal...
L’incubateur Lab.Scene, lancé par WSN et l’ISTITUTO MARANGONI Paris a initié son premier concours en 2019. 10 jeunes designers ont été choisis et à l’issue du concours trois d’entre eux ont gagnés la possibilité d’être présents dans...
Le livre présente l'histoire d’une maison de Haute Couture, un peu oubliée, comme bien d’autres, mais qui lors de son passage sur la scène parisienne, n’a au final pas laissé que des frou frou, des robes de soirée ou encore le parfum préféré de Madonna. La maison de Couture Robert Piguet, du nom de son fondateur, Suisse protestant, fils de banquier, a eu une belle existence de 1933 à 1951. Elle a apporté son goût de l’élégance, sa capacité à sublimer l’épure, c’est Christian Dior qui le dit dans ses mémoires, à habiller les clientes de l’époque, qu’elles soient bourgeoises, princesses, artistes, stars de théatre ou de cinéma, mais a été surtout le théatre des débuts de jeunes designers qui ont pu faire sur cette scène de la mode, scrutée par le monde entier, leurs premiers pas et y démarrer de brillantes carrières. On pense bien sûr à Christian Dior, mais aussi à Hubert de Givenchy, ou encore à Marc Bohan...