En redécouvrant les carnets d’esquisses accumulés au fil des décennies, la fondatrice de l’Orangerie d’Isabella eut cette révélation : ces dessins, empreints de la sensibilité d’un artiste, pouvaient devenir le langage visuel d’une marque de mode. Après ses études finalisées en 2021, elle s’est lancée avec ses premières collections que l’on peut ainsi découvrir dans son dernier pop-up installé dans le quartier emblématique de Saint-Germain-des-Prés à Paris. Son objectif est de créer des vêtements durables pour celles et ceux qui aspirent à l’élégance, la liberté, la fantaisie et la spontanéité, en célébrant toutes les morphologies, tous les âges et toutes les cultures. 

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De l’importation en Europe des mousselines du Bengale, à la mode des “indiennes”, c’est un dialogue ancré dans le temps mais aussi tourné vers l’avenir et l’innovation que nous propose cette exposition avec pour référence le métier à tisser, outil emblématique de l’activité des Manufactures nationales, aujourd’hui encore très présent dans les villages et les foyers d’artisans indiens.
La visite de l’exposition « Ce qui se trame » au Mobilier national, Paris 13, permet de découvrir ces créations à travers 7 différentes sections, où dialoguent des oeuvres rassemblées par une forte cohérence visuelle et technique mais aussi par des “fils” sémantiques surprenants.

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Ce magnifique plaid, tissé en nid d’abeille vous apportera la douceur et la beauté des paysages de Lozère. Disponible en précommande, il est une preuve que l’on peut agir simplement pour l’écologie et la relocalisation de nos filières textile, grâce à l’utilisation d’une laine locale qui est encore trop souvent jetée ou brûlée.  Virgocoop a relancé la filière avec une trentaine d’éleveurs, en Lozère, sur les causses Méjean et de Sauveterre, en rémunérant la laine et la collecte. Lavée en Belgique, puis filée en France, la laine est ensuite tissée au sein de leur atelier Tissages d’Autan dans le Tarn. Un confort disponible en 3 teintes.
La Coopérative a également une levée de fonds en cour.

C’est un coffret solidaire 100 % fabriqué en France, intitulé « Je me tâte » qui concrétise une campagne de communication dotée d’une pointe d’humour. Le but, sensibiliser aux cancers masculins encore trop souvent passés sous silence, encourager l’autopalpation et soutenir la recherche. La boite contient un boxer 100 % Made in France, tricoté, coupé et confectionné dans les ateliers Lemahieu de Saint-André-lez-Lille, une carte postale illustrée et un guide d’autopalpation validé par les équipes médicales du CHU de Lille, un réflexe à adopter dès l’adolescence et jusqu’à 45 ans. Le coffret est commercialisé au prix de 25 €. L’intégralité des bénéfices sont reversés à la fondation de recherche du CHU de Lille, afin de financer les actions de dépistage, de soin et d’innovation contre les cancers masculins.

Cette seconde publication présente 3 jeunes étudiants.es à peine sortis de l’école de mode LISAA et qui ont commencé à suivre leurs propres chemins. On y retrouve une vision de leurs talents, idéal pour les marques qui veulent anticiper l’avenir, accompagnés par une nouvelle enrichie par une illustration d’Angeline Melin.
A feuilleter ou télécharger librement sur le site dédié.

Cette nouvelle publication présente 4 jeunes marques contemporaines et éco-responsables qui suivent la filière des Ateliers de Paris, gérée par le BDMMA. La couverture met en avant la création de la designer textile Merigot-Sanzay qui m’a accordé le droit de l’utiliser. La publication comprend une nouvelle, enrichie par une illustration d’Angeline Melin.
A feuilleter ou télécharger librement sur le site dédié.

Une publication entièrement consacré à des marques de mode Ukrainiennes qui révèle la diversité créative de ce pays.
Elle comprend des illustrations réalisées par la fashion designer de Chereshnivska, @n__rozava, basée en Ukraine.
Un zoom est fait sur la broderie, spécialité emblématique de ce territoire, grâce à l’expertise de @crafted.by.spravedlyva, basée elle en France.
A feuilleter ou télécharger librement sur le site dédié.

Guénolée Milleret a dressé le portrait du modéliste, acteur clé de la création vestimentaire. Ses racines ? À rechercher dans les ateliers tailleur et flou de la haute couture parisienne. Sa mission ? Exprimer un dessin en volume. Ses méthodes ? Coupe à plat et moulage. Une promenade dans l’histoire de la couture et de ceux qui l’a font.
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Si pour certains les vacances sont un moment plus dur à vivre car une période sans Fashion Week ni d’actus mode est plus dur à vivre qu’un été caniculaire sans piscine, voila de quoi faire un plongeon dans quelques lectures d’été qui auront l’avantages de vos replonger avec humour et véracité dans cet univers.
« Griffé Haute Couture » est un livre illustré écrit par deux femmes stylistes. Une vision de l’intérieur de ce monde avec quelques aventures bien troussées et toutes romancées(?). Il y a même un directeur de studio qui s’appelle Pierre Piquet (Sur le coup j’ai eu une petite frayeur;)
« Danser sur un volcan« , écrit par Sophie Abriat est plus une enquête qui veut nous faire comprendre comment ce monde du luxe veut plutôt proposer une vision du monde que simplement vendre des produits.