
Un large collectif de marques et de talents
Le but de ce label est de mettre en lumière ses différents acteurs membres. Les différentes étapes passent par des événements comme celui qui a eu lieu au 100 ESC Etablissement Culturel et Solidaire, le samedi 7 avril au 100 rue de Charenton. C’était l’occasion de rencontrer les différents membres adhérents à l’UAMEP et fervents promoteurs d’une autre voie pour une mode plus responsable et éco-citoyenne. Le moment fut l’occasion d’échanges avec ces différents créateurs/créatrices ,découvrir leurs marques, apprécier la possibilité de se restaurer et de participer à ces échanges et débats sur « Quelle circularité entre éco-conception et savoir faire artisanaux »ou « Comment consommer responsable en valorisant les savoir-faire ». Une discussion s’est déroulée avec Eva Zingoni, énergique italo-argentine qui a participé avec verve au sujet « Réinventer le luxe et ses savoir faire », le tout sous l’égide d’Arielle Levy, personnalité bien connue de tous ceux qui ont un regard avisé sur l’éco-conception de la mode et fondatrice en son temps de l’Herbe Rouge. Le prochain événement qui verra la présence de ce label sera les Fashion Green Days qui se dérouleront dans les Hauts de France les 24 et 25 mai prochains.

Noémie Devime
Vêtement, accessoire, tissu, tout le process de la mode est revu par l’UAMEP
Il n’y a pas que le vêtement qui entre en considération à l’UAMEP. La réflexion inclut également toute la chaîne de valeur (oui, je sais, c’est un affreux terme marketing qu’emploient les consultants 😉 de la création du tissu jusqu’à son mode de vente. C’est pourquoi au sein de ce label il y a des professionnels du tissu comme Anne Isambert et des jeunes marques qui proposent des accessoires de mode comme Umoja et son projet de chaussures conçues avec des matières provenant du continent Africain.
Rétroliens/Pings